Un geste oublié. Un parfum plus vieux que la mémoire.
Un moment pour se retrouver.

Nous n'avions pas l'intention de lancer une marque.
Nous recherchions simplement le silence — quelque chose d'authentique, quelque chose qui nous ancre dans la réalité.

Je ne suis pas né à Oman. Je suis arrivé ici comme jeune expatrié.
À la recherche d'un sens dans un monde qui va trop vite.

Un jour, dans les falaises du Dhofar — où le monde
L'encens le plus rare a poussé pendant 5 000 ans —
Un homme m'a tendu un morceau de résine.

«Brûlez-le, et restez avec », dit-il.
Alors je l'ai fait.

Le parfum s'éleva, discrètement – ​​terreux, profond, ancien.
Cela ne promettait rien réparer.
Mais cela a apaisé quelque chose en moi.

À partir de ce moment-là, je n'ai pas pu lâcher prise.

J'ai commencé à poser des questions.
Comment est-il récolté ? Pourquoi est-il si pur ici ?
Pourquoi n'en parlons-nous pas davantage ?

Plus j'en apprenais, plus je comprenais : ce n'était pas simplement de la résine.
C'était une transmission — de l'arbre à la main, de la main à l'esprit.

Orilyan est né de cette rencontre.
Une marque, certes, mais surtout une invitation :
ralentir,
respirer,
pour revenir à l'essentiel.

Le Dhofar n'est pas qu'une simple région.
C'est le berceau d'une légende.

Depuis des millénaires, ces montagnes produisent du Boswellia sacra —
l'espèce que les anciens appelaient « la sueur des dieux ».
Autrefois, cette résine s'échangeait contre plus d'argent que l'or.

Il ne pousse nulle part ailleurs.
Pas avec cette pureté.
Pas avec ce parfum.

La mousson de khareef, le sol, l'altitude —
Tout ici conspire à créer quelque chose d'irrépétable.

Nous ne prenons pas cela à la légère.

Nous travaillons avec des artisans des montagnes du Dhofar —
ceux qui récoltent le Boswellia sacra depuis des générations.

Ils connaissent chaque arbre.
Quand et où pratiquer le tapotement ? Quelle quantité prélever sans risque pour la santé ?

Nous ne modifions pas la résine.
Nous ne le traitons pas au-delà de ce qui est nécessaire.
Nous vous le proposons exactement comme eux —
Brut, cueilli à la main, sauvage.

Certaines pièces sont filtrées à la perfection : translucides, sans écorce, prêtes à offrir.
D'autres restent à l'état naturel — bruts, généreux, authentiques.

Il s'agit de la même résine sacrée.
Ce ne sont que différentes expressions d'une même vérité.

Parce que la nature n'a pas besoin d'être améliorée.
Il lui faut juste de l'espace pour être ressentie.

Non pas le bien-être comme tendance,
mais comme un geste symbolique.
Tout a commencé avec un grain.
Cela continue avec vous.